Séjours en nature

La planète Terre a d’infinies ressources pour poursuivre son processus de Vie quoi que nous fassions, nous Humains qui l’habitons. Mais il est indéniable qu’elle souffre de la façon dont notre relation avec elle a évolué depuis plusieurs siècles, de ce que nous lui infligeons de ce fait et de l’incroyable rapidité des mutations en cours.

La proposition qui suit part de deux constats.

 La relation que nous entretenons avec notre environnement est le miroir de la relation que nous avons avec nous-mêmes. Cela vaut pour nos congénères comme pour la Nature : nous maltraitons la Terre comme nous nous maltraitons nous-mêmes, nos peurs régissent nos comportements et les orientent vers la recherche du pouvoir sur autrui plus que vers celui d’une coopération respectueuse des besoins de l’autre.

 Coupés de nous-mêmes (de nos ressentis et de nos besoins profonds) et coupés des autres, nous sommes aussi coupés de la Nature et toutes les merveilles technologiques qu’a pu créer et que va encore créer l’intelligence humaine ne nous sauvera pas si nous ne retrouvons pas le lien, forcément sacré, qui nous unit àla Nature comme ànous-mêmes.

D’où il découle deux pistes àsuivre :

 pour une fois, partir de la Nature et de l’écho qu’elle nous donne (et non de soi, comme je le propose partout ailleurs dans mon travail) pour œuvrer às’améliorer soi-même ;
 parce qu’il y a urgence, c’est àprésent une banalité de le dire, prendre le soin de restaurer le lien que nous avons perdu avec la Nature et retrouver en soi le "sentiment océanique" (S. Freud) de l’Unité fondamentale.

Le descriptif qui suit est encore àl’état de projet. N’hésitez pas àme solliciter pour en savoir plus d’ici quelque temps...

Pour terminer cette présentation j’ai envie de citer cette parole d’un ancien chef Seattle :
L’homme n’a pas tissé la toile de la vie, il n’est qu’un fil de cette toile. Quoiqu’il fasse àla toile il le fait àlui-même.